Oligo
Si nous partons du jugements esthétiques, nous pouvons plus ou moins affirmer, au fil des circonstances qui guideront l'individu à faire tel ou tel choix, que ceux ci sont provisoires.
Partant de ce constat, on s'aperçoit à quel point la "qualité" que l'on attribue à une œuvre musicale est sujet à une intangibilité constante, puisque ce que nous pensons de telle œuvre musicale aujourd'hui ne reflètera peut être pas ce que nous penserons d'elle même demain.
Ainsi, nous discernons la chose suivante : à savoir que tout jugement de valeur artistique d'une production mélodieuse n'est fondé sur aucune connaissance possible, raisonnablement possible, mais bien sur l'intangibilité de nos affinités ou inclinations et par comparaison entre les créations de différents artistes. ( mis à part des experts en la matière : chef d'orchestre et j'en passe )
A ce stade, nous distinguons bien à quel point la prétention des artistes "musiciens" est abject, sans porter le moindre regard sur leur ouvrage. C'est d'avantage leur comportement qui m'intéresse, à savoir leur extrême pédanterie alors que leur art n'est souvent qu'un moyen de ne penser à rien tout en croyant réfléchir.
Je n'admet pas que l'on puisse accorder une telle aura de notoriété et d'admiration à tous ces interprètes, sans distinction, dont le travail n'aura aucune répercussion sur le devenir humain, c'est purement et simplement une autre forme de mystification collective garantissant le travail quelque peu inutile de ces "modeleurs de vide".
Les "artistes", ces petits profiteurs du système de redistribution, qui n'hésitent pas à s'approprier l'argent public pour se faire exposer au grand public, mais pour quels résultat(s), à part celui de vivre confortablement du travail des autres ?!
Parlez avec ces "musiciens", et vous verrez à quel point leur point de vue est en totale incohérence avec la réalité ; en faisant l'éloge de leur art, tout en méprisant toute autre forme de travail jugé "avilissant" ou "aliénant".
Personnellement, je vois très facilement l'utilité d'un employé de super marché. Un chanteur, un musicien, pas toujours... un peu plus de modestie ne ferait pas de mal à beaucoup.
Je reste toujours émerveillé devant la beauté du ciel , et je doute que cet état est provisoire.
RépondreSupprimerDe plus tu ne sembles considérer "le plaire" semblant oublier que l'art c'est avant tout toucher.
Si ces inclinations sont provisoires temporelles et locales, comment expliques-tu que certain artiste, proust pour n'en citer qu'un soient capable de toucher dans le monde entier et de faire partie des auteurs les plus édités dans le monde.
Est-tu entrain de cracher sur l'imagination Florian. Ou préconise-t-tu de consommer dans son coin sans partager?
Encore une fois, tu emet une critique justifiée a l'encontre d'un groupe trop large pour que celle-ci soit pertinente. C'est bien de l'art mecenisé par les grands groupes industriel dont tu parle , de toutes ces raclures de star academy, popstar, à la recherche de la nouvelle star , Raymond Barrrrr ...
Cela dit l'artiste, n'est pas forcement riche , et l'artiste ne vends pas forcement. L'art c'est aussi la littérature , et tu ne peux cracher sur l'art , alors que pour rédiger cette article tu uses de l'éloquence .
Tu semble oublier que l'art est un vecteur de pensée : http://dp.mariottini.free.fr/weekend/madrid/photos/guernica-picassos-pablo.htm
La généralisation d'un raisonnement entre dans une logique de stéréotypation , que paradoxalement tu souhaite combattre
Je me met en opposition à la massification des filières artistiques, qui acceptent n'importe qui et n'importe quoi, du moment que chaque individu produit sa petite "oeuvre" artistique.
RépondreSupprimerComme dans beaucoup d'autres cas, massification signifie appauvrissement des résultats.
Ainsi je refuse de me soumettre au relativisme dans tout ce qui relève du jugement de valeur des productions artistiques.
Je défis l'avenir de me montrer que j'ai tort, à savoir que ce dernier sera bien moins riche que les siècles passés.
Un peu de patience donc...
Contente de voir que tu as modifié ton article précédent qui était à mon gout un jugement beaucoup trop expdetitif et sans recul(car avec une vision stéréotypé de ce que l'art est)
RépondreSupprimercependant ton article actuel me semble être encore trop rapide.
La notion d'utilité est peut être moins restreinte que tu ne veux l'admettre, le plaisir(forcément relatif) est une des composante essentiel de la vie et la musique n'en est pas l'un des moindre.
Si tu vises un artiste en particulier cite le, car il me semble légèrement injuste de qualifier en général la catégorie de musicien de pédante.
D'autre part la massification de la création n'est pas un facteur d'appauvrissement bien au contraire.
La culture de masse s'appuyant sur un petit nombre d'"artistes" est facteur d'appauvrissement car elle en écarte la majorité qui nous enrichirait considérablement.
Désolée de cette critique un peu dure mais la tienne me semble l'être aussi
Jamais je n'aurais cru devoir m'inscrire à un blog pour pouvoir écrire ceci:
RépondreSupprimerTu dois vraiment manquer de créativité pour écrire ce genre de chose,tu méprises totalement les musiciens et les voient comme une masse, sans distinction.Il y a pourtant une grande nuance entre un musicien de bas étage (Star Academy) et un musicien professionnel y ayant accordé toute sa vie. A mon avis tu ne dois pas connaitre grand chose de la musique pour comprendre se genre de "subtilité". Il n'y a pas besoin d'être un psy pour comprendre que tu quelqu'un de fermé, peu profond. Tu as l'air de recracher tout cela de tes bouquins.Sans ses "modeleurs de vide" tu ne pourrais sûrement pas écouter de la musique, se que tu dois probablement faire comme tout le monde. Si tu crois sortir du lot, désolé pour toi mais tu n'es ni plus ni moins qu'un petit étudiant qui brasse de l'air, beaucoup trop sur de lui.
Certaine de tes phrase n'ont aucun sens. Tu te contredis toi même, tes texte sont soporifiques.
J'affectionne ces commentaires moralisateurs qui tourne au procès d'intention.
RépondreSupprimerComme tout cela me semble être "dans l'air du temps".